Shibuya et matière grise

On continue le noir et blanc avec quelques photos prises dans des recoins de Shibuya: une voiture poussiéreuse sous une autoroute suspendue, un vieil immeuble et sa cheminée près d’une entrée/sortie de la gare de Shibuya, un vendeur de magazines donnant sur la rue et l’entrée du Cinema Rise (par Atsushi Kitagawara Architects). Ce que j’aime avec le noir et blanc analogique, c’est la presque impossibilité de dater les photos. Pourtant tout est très récent.

5 commentaires

  1. Si, j’ai quelques autres photos à montrer. Je me suis remis à l’analogique N&B suite à l’expo D. Moriyama et à notre discussion ce jour là. Seul problème, c’est d’attendre une semaine avant le développement.

  2. C’est tout à fait exact et je partage avec toi cette idée d’atemporalité du noir et blanc analogique! Ce que d’autres appellent le potentiel scénaristique ou dramatique ! J’aime beaucoup celle du cinéma…On se croirait presque en 1950 à l’époque des vieux projos…

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