Catégorie : Internet

Au hasard des mes divagations sur le Net, je suis tombé nez à nez avec les 3 annuaires de weblogs en francais. J’en ai profité pour y référencer le mien, de weblog, vite fait bien fait. Les adresses sont les suivantes si le coeur vous en dit d’avoir un peu plus de visibilité sur la toile.

– Blogolist.com.
– Weblogues.com.
– Blogonautes.com.

Au passage, un weblogue francophone plein d’humour et de fraicheur sur l’actualité du Blogue: MediaTIC.

Le problème du Weblog, c’est qu’on a toujours envie d’écrire quelque chose, et parfois, les idées ne viennent pas, parce que, tout simplement, il n’y a rien de spécial à raconter. C’est un peu le syndrome de la page blanche comme le connaissent les écrivains. Dans ces moments là, pas de panique, pour retrouver l’inspiration, rien de tel que de passer un peu de temps à admirer un chef d’oeuvre historique et plein de mystère. C’est par ici.

Bon, si vous n’êtes pas convaincu, vous pouvez toujours passer le temps dont je vous parle ci dessus pour aller jouer a l’excellent jeu Flash s’intitulant Samorost, plein de mystère … ou encore vérifier vos connaissances sur le personnage historique et chef d’oeuvre de Nintendo Mario et Compagnie.

La vie est faite de choix…

… ou un peu plus. Séquence nostalgie donc, avec en images, les différentes versions de ce site Internet qui remonte en fait à 1998.

Version-1::Bienvenue chez Frederic GAUTRON
La première version et également le premier site Internet que j’ai fabriqué de mes mains à coup de NotePad. C’était en 1998, le site était hébergé sur un compte Multimania (anciennement Migale, et nouvellement Lycos Multimania). Cette version est assez primitive, c’était vraiment un premier essai qui ne contenait pas grand chose et qui n’etait pas destiné à evoluer beaucoup. Elle contenait principalement mes CVs, ma page d’essai sur mon voyage a Nagasaki. Elle a été ensuite complétée de quelques pages de photos du Japon.

Version-2::Okaeri
Cette nouvelle version désormais appelée Okaeri nait en Avril 2000. Elle m’a demandé beaucoup de boulot et de temps, vu que chaque page avait un design particulier, sur le concept de la page de garde, c’est a dire une photo en transparence sur un dégradé de couleur. Cette version est également axée sur ma vie au Japon et les parties principales sont bien entendu des pages de photos, quelques infos sur la musique japonaise, … En y repensant maintenant, c’était un site à l’ancienne, assez lourd a visionner (vu la taille des images) et à updater. J’en ai perdu un peu la trace, mais cette version a également connu des sous-versions avec des graphismes legerement différents. Le tout n’était malheureusement pas W3C compliant, car fait sous Dreamweaver qui génère du code HTML légèrement pourri. Egalement, à noter que cette version est accompagnée de l’achat du nom de domaine fgautron.com.

Version-3::Made In Tokyo
En Mai 2003, je découvre le systeme du Weblog et ouvre une partie du site se nommant Made In Tokyo pour poster quelques news facilement et rapidement. Cette partie prend très vite de l’importance par rapport au reste du site Okaeri. Les pages de photos se retrouvent désormais dans le format du software Gallery, qui facilite grandement l’upload des photos, et l’ajout de legendes et commentaires. Le gain de productivité est assez énorme, ce qui me permet de poster plus d’updates en beaucoup de moins de temps.

Version-4::Made In Tokyo
En Octobre 2003, la version actuelle est enfin mise en place, avec un graphisme plus clair et plus agréable à lire, je pense. Le site Okaeri disparait presque complètement, notamment des pages et parties secondaires (comme le cv, l’envoi d’email). Il en reste quelques pages de photos que je dois encore essayer de parfaitement intégrer dans l’ensemble. La nouvelle forme du weblog m’est assez satisfaisante, mais je pourrais parier des millions que l’envie de changer de graphisme va me démanger dans quelques temps. Dans la chaine de fabrication, la partie la plus consommatrice en temps est désormais l’édition Photoshop des images de la galerie, vu les pauvres capacités de mon fidèle destrier (gateway 600MHz). Il va falloir considérer très sérieusement une upgrade vers un G5.

Voilà, c’était pour ceux qui ont manqué le début du film.

C’est l’hiver, il fait froid, rien de tel pour se réchauffer un peu que de s’exercer au lancé de pingouin. Ca détend après une longue journee stressante. J’atteins le score de 319.8 pour l’instant, qui dit mieux.

Jouer a Fat penguin (point Flash swf).

Ne vous méprenez pas, je n’ai rien contre les pingouins…

C’est toujours amusant de voir toute l’imagination déployée pour la recherche de terme français pour les termes anglais du language informatique. Mon préfèré, c’est quand même le butineur Internet, mais celui ci-dessous est pas mal non plus.

« Le mot spam vient, dit-on, d’un sketch du Monty Python’s Flying Circus dans lequel John Cleese et ses acolytes répétaient ad nauseam le nom d’une marque de viande en conserve : « Spam ». La langue française, elle, hésite entre cette terminologie et deux néologismes issus du monde francophone. Le premier, « pourriel », contraction de « poubelle » et de « courriel », est très en vogue au Québec. A titre de consécration, il vient d’être ajouté à la dernière mouture du Petit Robert. Le « pourriel » ne doit cependant pas être confondu avec le « polluriel », terme également d’invention canadienne désignant un genre particulièrement provocateur de « pourriel ». Dans leurs publications, les administrations francaises hésitent généralement entre la reprise du mot anglo-saxon et « pollupostage » (contraction de « pollution » et « publipostage »). Sur le site Internet de l’Assemblée nationale le premier est aussi décliné sous forme de participe présent (« spamming »). Il n’est cependant utilisé qu’entre guillemets. » — LeMonde.fr