Série de promenades

Aoyama Ebisu Series

La série de photos a été prise à différents endroits dans les quartiers de Aoyama, Ebisu, Akihabara et Kichijoji lors de promenades d’après midi, d’allés retour au bureau ou à l’hopital.

On commence par un immeuble du côté de Nishi Azabu, l’immeuble FujiFilm se détache du ciel bleu du dimanche de la semaine dernière. A deux pas du pied de cette tour plutôt ancienne maintenant, on trouve, comme perdue dans cette zone urbaine, une maisonette gagnée par la verdure. Elle aurait plutôt sa place à la campagne, au fond d’un jardin.

On continue par quelques photos prises dans les environs de Ebisu. La rivière de Shibuya suit les formes en S imposées par son guide de béton. Elle est située en parallèle de la voie ferrée toute proche. A quelques pas de la station de Ebisu, un petit immeuble stylisé attire l’oeil par son design de surface particulier et ses couleurs. Dans le même quartier, on retrouve ce genre de maisons attaquées par le temps ou par une très forte désorganisation.

On continue toujours avec une photo de la surface changeante de Akihabara en pur contraste avec la photo précédente.

On termine avec la promenade dominicale d’hier autour de Kichijoji: le parc de Inokashira, un de mes préférés, pour son animation du dimanche et le temple de Hachimangu, un nom similaire au grand temple de Kamakura, mais en version plutôt calme si on fait abstraction du concert des cigales.

C’était Shibuya

Shibuya Carrefour

Ci dessus, une vieille photo du Tokyo d’après guerre. Il s’agit de Shibuya. Je suis étourdi, je n’ai malheureusement pas relevé la date exacte de prise de vue. C’est assez amusant d’essayer de replacer sur cette photo les immeubles actuels: la tour du Tsutaya sur le côté droit de la photo sur le grand croisement et au fond on placerait la tour 109, au pied de la bretelle. Il semble que le tracé des rues n’ait pas changé depuis.

On trouve cette photo ainsi que beaucoup d’autres, à différentes époques, au Shibuya Folk and Literary Shirane Memorial Museum, un petit musée sur plusieurs étages dans le quartier de Higashi, près de Ebisu. (adresse et heures d’ouverture, entrée 100 Yens). L’espace d’exposition retrace les évolutions de Shibuya à travers de nombreuses photos, videos, cartes d’époque et quelques dessins.

On y retrouve également des objets tels que l’affiche ci-dessous, des reconstitutions d’intérieur, etc. Nous avons été très étonné d’y découvrir le chien Hachiko empaillé. Il s’agit du chien d’un professeur de Todai qui attendait son maître au pied de la gare de Shibuya, celà même après sa mort. C’est une belle histoire de fidèlité très connue, la statue du chien se trouve tout près de la gare. L’exposition nous le montre dans une série de photos à différentes époques.

Publicité Yebisu

L’affiche ci-dessus est une publicité pour la marque de bière Yebisu (excellente d’ailleurs). Par ses couleurs peut être et malgré la présence du kimono, elle me fait penser à l’imagerie chinoise.

Les Feux de Edogawa

Il y a certains moments à ne pas manquer au Japon, au printemps ce sont les cerisiers en fleurs, en automne, les feuilles rougissantes et en été les feux d’artfices pointant leur nez aux quatres coins du pays. Cette fois-ci, nous assistons à celui de Edogawa, près de la station de JR Ichikawa au delà de Akihabara. Nous étions accompagnés par You, une des meilleures copines de Mari, de retour pour 1 mois de Londres, à la recherche de tous les éléments japonais qui lui ont manqué pendant plus d’1 an d’absence.

Comme tout événement du genre au Japon, la foule était débordante et très contrôlée par les forces de la loi. Nous la suivons difficilement jusqu’aux berges de la rivière Edogawa. La chance nous sourit, une bonne place se laisse trouver en quelques minutes, le tapis de sol marquera notre territoire. Le feu d’artifice a déjà commencé depuis une vingtaine de minutes, il battera encore son plein jusqu’à 20h30 avec un final éclatant. La foule est émerveillée devant les explosions de lumières dans tous les sens et les couleurs rouges éclatantes. Par moments, le feu d’artifice se transforme en aurore boréale.

C’est ca un des plaisirs de ce genre de moments, être assis avec tout le monde, regarder le spectacle, boire une bière fraîche nous libérant un petit peu de la fournaise tout en dègustant tout ce qu’on a eu la bonne idée d’amener, les classiques petits haricots verts edamame, yakitori ou takoyaki. Seul un petit quelque chose manquait, nous aurions dû venir en yukata comme les défilés devant nous.

Le Tigre se rebiffe

Il y a cela un peu plus d’un mois je mettais à jour mon MAC OSX en passant de la panthère au Tigre. La mise à jour s’était bien passée mais le système me semblait un peu plus lent et certains périphériques telles que l’imprimante et le programme de capture d’images me faisaient quelques caprices en ne démarrant pas de temps en temps. Un crash impromptu pendant un exercice Photoshop a sonné la sonnette d’alarme. Direction Bic Camera pour recupérer les quelques 10 DVDs nécessaires à la sauvegarde de mes données et on re-formate le disque purement et simplement.

Eddie m’avait déjà conseillé de faire une « Fresh Install », je confirme également, l’OS répond beaucoup mieux … C’est finalement une histoire qui se termine bien.

Ce message est posté depuis la Dashboard Widget WordPress Dash, programme intéressant qui cependant ne gère pas l’Upload d’images mais permet l’allocation d’un billet à de multiples Catégories et de sauver un billet en Draft

Pour terminer, une photo prise le week end dernier à Inokashira Koen, près de Kichijoji, un de mes parcs préfèrés pour son animation. De nombreuses boutiques improvisées y prennent place ainsi que des réunions dégustatives sous les arbres. Ici, un groupe près de l’entrée du parc, l’invité est dans l’embarras du choix des boissons.