An ocean growing inside

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Sorti du train train ordinaire, j’aime à me dire que je vais prendre un peu de temps pour réfléchir un peu plus à ce site et aux directions que je devrais prendre, entre celles de la photographie, de la composition photographique et du dessin. Le dessin prend une plus grande place dans mon esprit depuis quelques mois, mais je réfléchis au meilleur moyen d’intégrer dessins et photographies dans des billets de ce blog. A vrai dire, j’aimerais transformer les pages de ce blog dans un format de carnet, comme un moleskine virtuel sur les pages duquel viendraient se coller dessins, photographies, écritures et compositions. Avec le dessin, j’ai repris le goût à la création « analogique », à la création sur papier plutôt que sur les pages virtuelles du blog. Je commence à réfléchir au concept de mon prochain « Book », et ce sera peut être sous le format d’un patchwork cette fois-ci.

Sorti du train train ordinaire, car nous sommes actuellement en vacances. Les photos du billet sont prises avant les vacances, dans Tokyo sous la chaleur et la pluie, avec un arc en ciel pointant son nez.

Le titre du billet est extrait de paroles de chanson, comme sur la plupart des derniers billets. Je suis fasciné par l’inventivité du dernier morceau de Tame Impala « Let it happen » dont est extrait ce quelques mots du titre.

Voler sous les trains

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J’utilise beaucoup moins mon Reflex Canon ces derniers mois et mes photos se résument à l’iPhone et Instagram (J’ai un iPhone depuis pas très longtemps en fait). La série dans le désordre ci-dessus se passe principalement dans Shibuya, vers Hiroo, à Ebisu jusqu’à la gare de Tokyo. Je voulais prendre le petit robot Astro (ou Atom ici) volant sous les trains, depuis un petit moment mais l’occasion ne s’est présentée que récemment. La maison sur la dernière photo de la série est vraiment étrange avec ces parois faussement fissurées en briques venant contrastées avec les murs noirs avec ce visage au fronton. On l’aperçoit à peine, mais il y a une voilière sur la droite de la maison (pas sûr s’il s’agit exactement d’une voilière ou d’une cage) et une Rolls dans le garage. Je continue également mes dessins futuristes en les mélangeant cette fois-ci avec des montages photographiques construits il y a quelques temps.

on 外苑西通り

Après l’immeuble de verre Bridgestone, je parcours la rue Gaien-nishi et rejoinds quelques petites rues vers le parc Arisugawa avant la station de Hiroo. Je me dirige vers l’ambassade de France. En passant, quelques photos s’imposent comme les rangées de briques du restaurant Waketokuyama de l’architecte Kengo Kuma (en troisième photo) ou, sur les photos 6 et 8, la fine tour en forme de S nommée ESQ. Hiroo.

Angles et reflets à Hiroo

Je suis repassé devant le Bridgestone Institute of Global Training (BIG-T) par Nihon Sekkei à Hiroo. La première fois, en mai 2011 (le temps passe vraiment vite), je m’étais contenté d’une seule photo en pensant revenir très vite. Cette fois-ci, j’essaie de faire un peu le tour pour admirer les angles et ces surfaces vitrées. J’aime bien ce bâtiment mais il est un peu difficile à prendre en photo dans son intégralité car la partie principale de l’immeuble donne sur une petite rue très étroite. On cherche le bon angle et le bon positionnement, notamment pour capter les reflets sur les parois vitrées. J’apprécie mon fidèle grand angle Sigma dans ces moments, comme pour tous les moments d’ailleurs car je n’utilise que cette lentille depuis des années… Je continue un peu plus ma promenade dans Hiroo, sous le soleil de ce dimanche. J’ai deux heures pour moi alors que Mari et Zoa sont occupés, j’en profite pour aller à la chasse à l’architecture tokyoïte. La chasse à l’architecture tokyoïte consiste, pendant une période limitée (genre 2 ou 3 heures), à se fixer une destination architecturale cible (genre la Galerie GA à Kita Sando pour la dernière fois) et à emprunter des rues jamais vues pour y arriver. Au hasard de la promenade, on trouve souvent des choses architecturales intéressantes. Ma cible cette fois-ci, c’était un petit bâtiment de béton aux murs obliques juste à coté de l’ambassade de France. Mais ce sera pour le prochain billet.