Black in Summer (5)

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Dernière étape dans la série d’été en noir et blanc avec l’épisode 5. J’étais assez content de me remettre un peu à l’argentique, j’ai du coup acheté récemment trois autres pellicules 36 poses cette fois pour continuer encore un peu quand le coeur me le dira. L’envie vient tout d’un coup en général et il peut se passer des mois et des mois avant que je reprenne l’appareil. Revenir à l’argentique donne l’impression de se libérer du monde digital, de faire une pause, de lever un peu le pied. Il n’en est rien en fait, mais j’aime bien avoir cette impression. Il est vrai cependant que j’ai bien abandonné ma tentative Instagram. C’était bien parti, mais Instagram, c’est un cercle infernal qui prend tout notre temps. L’effet pervers est qu’on passe beaucoup trop de temps à gérer les « like », on finit par regarder une photo pendant un dixième de seconde pour y mettre un « like » d’une manière quasi-automatique, et passer d’une manière tout aussi automatique à la photo suivante sans réfléchir (Flickr me donnait un peu cette impression mais c’est exacerbé sur Instagram). Les photographies ci-dessus se passent à Yoyogi-Uehara, Shibuya, Yokohama.

Black in Summer (4)

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Le quatrième épisode de la série d’été en noir et blanc revient encore une fois sur le Earth Tecture Sub-1 de Shin Takamatsu. J’aime beaucoup quand l’architecture s’approche de l’art et ce petit bâtiment en est un bon exemple (tout comme, dans un autre style et en plus poignant, l’architecture brutaliste). On aperçoit les tags malheureux à l’arrière de la structure, dont je parlais dans l’épisode précédent. Le reste des décors de cette série se trouvent autour de la gare de Tokyo et à Yoyogi-Uehara. Pour cet épisode, toutes les photographies sont à la verticale.

Black in Summer (3)

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La série argentique continue avec 10 photographies supplémentaires prises autour de la gare de Tokyo, de Ebisu, du parking du Tsutaya de Daikanayama (la façade avec petits « T » de Klein Dytham). On retrouve le Earth Tecture Sub-1 de Shin Takamatsu. En dernière photo, c’est le petit garçon Zoa à Shibuya. Les petits photographes de quartier disparaissent petit à petit. Celui où je faisais habituellement développer mes photos a fermé il y a quelques temps.

Black in Summer (2)

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Le deuxième épisode de cette série en noir et blanc commence par une photographie en contre-plongée de l’immeuble Shin-Maru Biru à Marunouchi. J’aime beaucoup cet angle de prise de vue et ceux qui suivent Made in Tokyo depuis longtemps auront peut être reconnu la version digitale de la même prise de vue (à la verticale cependant) il y a de cela plus de 3 ans (et oui, ce blog a plus de dix ans donc les retours en arrière nous rajeunissent tout de suite de plusieurs années). Un autre petit immeuble que j’aime beaucoup pour le mystère qui l’entoure, c’est le Earth Tecture sub-1 de l’architecte Shin Takamatsu. Je continuerais avec quelques autres photos dans les prochains billets. Ces moitiés de dômes en forme de fleur métallique sont en fait la partie immergée de l’iceberg, car la majeure partie de l’immeuble se trouve en souterrain sur 4 étages. En regardant ce projet architectural expérimental, on croirait vraiment à une présence extraterrestre à Yoyogi Uehara. Je ne suis pas sûr que ce bâtiment soit utilisé et tout l’arrière des segments de sphères sont taggés, ce qui est bien dommage. Beaucoup des photographies de cette deuxième série sont prises près de la gare de Tokyo rénovée. D’autres à Yoyogi Uehara et à Kichijoji.

Black in summer (1)

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Je commence une petite série de fin d’été de quatre ou cinq épisodes qui viendra s’intercaler avec l’autre série de photographies londoniennes. Deux îles dont la capitale est prise en photo avec un traitement différent. Je me remets donc au noir et blanc argentique le temps de 3 pellicules 24 poses, que j’avais commencé il y a plusieurs mois. Comme mon rythme de prises de photographies argentiques est très lent, j’en viens à oublier ce que j’ai pris en photos et c’est agréable de découvrir le résultat une fois les photos imprimées. Il y un effet de surprise et une attente que l’on perd bien entendu avec le digital. Ce qui est intéressant également, c’est que je repense régulièrement à l’argentique pendant la période estivale. Une des photos ci-dessus d’herbes hautes après la pluie a été prise au même endroit que dans le billet tyo-roll16-1-4, mais deux ans auparavant, en août 2011. Il y a t’il un lien inconscient entre été et argentique? une certaine chaleur peut être. En musique en ce moment, j’écoute beaucoup deux bon morceaux: Genesis par Grimes (qui date de l’année dernière) et Get Free ft. Amber of the Dirty Projectors par Major Lazer (morceau sorti en avril cette année je pense). Les deux liens pointent vers les video de ces morceaux, sur ma page Tumblr.