Update of 22 April 2000

I fixed the problems which occured using Netscape. Now, everything should work fine, except the mail (should be ready soon, though). I added a Flash file on the jpop page (the one which never worked on my old site, hope it’s not the same with this one). On the cover page, you can now use the right click to get a new menu. This feature is unfortunatly not working with Netscape 4.7 or below, but only with IE5 (DHTML dakara). But, there is still a small problem with layers i.e. the menu is always under all the other layers on the page (?!?).

I am about to go to Nagasaki for a one-week vacation. I’ll maybe take time to think of new updates. I can’t help wanting to add new things.

Some pictures of Sumo and Yokohama Chinatown.

Update of 15 April 2000

Brand new Web Site. For this new site, I kept most of the pages and pictures I had in the old one but I strongly modified the way it’s built (no more frames). I’m planning to build a 100% english version (some parts are still in french), or try to make the pages bilingual (Emilie’s page). I’d like to add a Flash introduction too. It’s on the way …

Some more pictures of my home.

Fish Market at Tsukiji & Odaiba

Ca faisait bien longtemps que je n’avais pas mis à jour ce site web. Je reviens donc cette fois avec des nouvelles photos du marché à poissons de Tsukiji, Odaiba et autres.

Le marché à poissons de TSUKIJI, Décembre 1999, vers 5h30 du matin. Tsukiji se trouve sur la rive Ouest du port de Tokyo. C’est ici que l’on débarque les milliers de poissons péchés la veille et que l’on met en vente. Et tout ceci pour approvisionner Tokyo et ses alentours.


(ci-dessus) Le port itself.


(ci-dessus) Là, c’est moi devant les thons. Ils sont énormes et gelés. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais ce style de pause revient assez souvent sur mes photos (moi-avec-les-mains-dans-les-poches). désolé ….


(ci-dessus) Une petite vue sur les poissons. Histoire d’apprécier la taille.


(ci-dessus) La criée. L’homme à droite avec le petit cahier vend les poissons aux enchères. C’est marrant à entendre, on dirait qu’il chante. Chaque acheteur potentiel examine tous les thons et se déplace devant celui qui l’intéresse.


(ci-dessus) Aux alentours du marché au gros, on trouve beaucoup de petits étalages proposant toute sorte de produits de la mer: pieuvre, fugu, … Y’a aussi des poissons « normaux ».


(ci-dessus) Après le marche, on s’est dit qu’on ne pouvait pas partir sans ramener dans nos bagages un joyeux spécimen. On a choisi un saumon que l’on a fait griller dans l’apart de Maya chan. On s’est acharné sur la bête. C’est assez balèze de couper un poisson (on avait pourtant un breton avec nous, Salut Yann). Mais finalement, on en est venu à bout, et ma fois c’était fort bon.

Odaiba, Janvier 2000. Odaiba, c’est une zone gagnée sur la mer située à l’Est de Tokyo. C’est ce qu’on appelle un polder.


(ci-dessus) Odaiba, c’est là bas au loin, de l’autre côté du Rainbow Bridge. On emprunte un shuttle sur roues, en traversant le fameux pont (à gauche).


(ci-dessus) Contrairement à ce que l’on pourrait penser, c’est un endroit assez vert. Du moins y’a quelques arbres et une belle petite plage. Rien que le fait de marcher sur la plage, les pieds dans le sable, donne une ambiance de vacances fort sympathique. En plus, on a une vue imprenable sur le pont Arc~en~ciel.


(ci-dessus) les petits canards d’Odaiba. Comme c’est mignon !!


(ci-dessus) L’immeuble Fuji TV (une chaine de télé tres connue). Le batiment a une architecture assez chouette, qu’en pensez vous? On peut même monter dans la boule, pour une vue sur la baie. A droite, Vue de l’esplanade du Fuji Building. On aperçoit le shuttle de toute à l’heure. Remarquez la « soucoupe volante » au fond.


(ci-dessus) Le théatre de kabuki à Ginza et Akihabara

Week-end à Nikko

Nikko, le samedi 20 et dimanche 21 Novembre 1999. Après mon petit séjour en France, un « pèlerinage » dans l’un des hauts lieux du bouddhisme japonais s’imposait, histoire de se ré-imprégner du Japon que l’on aime. Nous, SeB, Aya et moi, avons donc décidé d’aller prendre l’air à Nikko, petite ville des plus agréables.

Parlons un peu histoire, c’est à Nikko que repose le shogun Tokugawa Ieyasu (un des seuls dont je connais le nom). Ce lieu a été également choisi par Tokugawa Iemitsu, le petit fils de Ieyasu, pour y ériger un des temples bouddhistes les plus richement décoré du Japon: le Toshogu. Allez, on est parti ! Ikimashou !!

Notre petit périple commence évidemment par la visite des temples de Nikko et plus particulièrement du Toshogu.


(ci-dessus) Une petite vue d’ensemble de l’entrée des temples de Nikko, pour mettre dans l’ambiance.

On commence par le jardin Shoyoen, « jardin ou l’on flâne », nom donné par Issai Satoh (1772-1859), un érudit confucéen de la période d’Edo. Le jardin est composé d’un petit plan d’eau avec carpes (koi), l’eau est l’élément essentiel du jardin japonais. Mais le meilleur, c’est cet arbre aux feuilles rouges écarlates: momiji. On trouve également ce type d’arbres au Canada, c’est la feuille rouge du drapeau canadien. Cette période est idéale pour admirer la campagne japonaise. Les forêts sont teintées de toutes les couleurs imaginables (sauf le bleu, …). Bref, c’est un plaisir pour les yeux.


(ci-dessus) Le jardin Shoyoen et un type qui s’est mis devant l’appareil au dernier moment, c’est malin.


(ci-dessus) Voilà les arbres dont je parlais auparavant.

On continue la visite des temples (le « des », c’est parce qu’il y en a au moins une vingtaine éparpillée dans la forêt). Le « temple du Dragon » (appellation personnelle) est particulièrement intéressant. Il est composé d’une grande peinture de dragon au plafond. L’acoustique de la pièce est étudiée de telle facon qu’un son aiguë (deux plaquettes de bois s’entrechoquant) émis sous la tête du dragon entre en résonance et provoque un écho d’une vingtaine de secondes.


(ci-dessus) Un des nombreux temples, perdus dans la nature, bordant un cimetière (c’est gai, je sais).


(ci-dessus) Un autre spécimen de temple. On est devant l’entrée principale. On pouvait visiter pratiquement tous les temples et éventuellement faire une petite prière (dans le cas ou l’on connait des gens qui vont passer un exam de pharma, par exemple).

Le temple principal du complexe est bien entendu le Toshogu. C’est un temple très décoré aux formes compliquées. Étonnamment, on trouve également des temples shintoïstes (jinja) à Nikko. Bizarre, bizarre …


(ci-dessus) Bon, voici enfin le Toshogu. Fallait patienter un peu.


(ci-dessus) A proximité du Toshogu, une petite pagode célèbre pour une sculpture sur bois représentant trois singes (y’a pas mal de singes en liberté a Nikko). La pagode abrite également un cheval blanc (d’henri 4) offert par la Nouvelle Zelande (Il serait, parait-il, sacré).


Même à Nikko, on a du mal à passer inaperçu. Avec nos fans.

Le soir, rien de tel qu’un minshuku (hôtel de type « ryokan » donc traditionnel avec tatamis et futons, mais dans une famille). La dame qui nous a accueilli se trouve être une joueuse de koto réputée. Le koto est un instrument traditionnel à 13 cordes, à l’horizontal. Il symbolise le dragon: la queue à droite, la tête à gauche, les petits ponts et les cordes représentent la crête du dos. Avec un beaucoup d’imagination, on reconnait, non? Regardez la photo pendant quelques minutes, vous verrez.

SeB et moi avons pu nous initier en jouant l’air le plus connu: »sakura sakura ». (C’est un sacrilège, mais la musique avait été reprise dans la pub Obao. Hum, Hum !!). N.B: le moins cher des koto coute 100,000 yens soit environ 5,000 francs et mesure bien 2m de long.

Ce même soir, nous avons également eu droit à un repas délicieux, préparé avec amour: sukiyaki (viande fine, champignons, tofu et autres légumes préparés dans une sauce bouillante). Oishii !! Et tout ca, suivi d’un bain chaud au Onsen voisin.

Definitly, le minshuku est LA formule pour découvrir le Japon.

Le lendemain, à la fraiche, on reprend la route pour le lac Chuzenji et ses nombreuses cascades: Kegon no taki est merveilleuse, mais aussi réputée pour ses suicides (sic !!).


(ci-dessus) Le lac Chuzenji au fond.


(ci-dessus) Le long d’une cascade menant à la cascade que l’on voit ensuite.


(ci-dessus) La fameuse cascade. Ici avec Jamiroquai, en guest star. A droite, la cascade de Kegon, elle est magnifique. Qu’en pensez vous?.

Le week-end se termine, retour à Tokyo sous la conduite avisée de maya tchan.