frénésie interne (trois)

Troisième et dernière fresque urbaine de cette petite série en trois épisodes. Mes séries sont souvent en trois épisodes d’ailleurs.

En tombant par hasard sur un vieux numéro hors-série des Inrocks consacré à The Cure que je dévore de la première page à la dernière, je me remets en ce moment à écouter des albums du groupe, tout d’abord la trilogie sombre du début des années 1980: Seventeen Seconds (1980), Faith (1981) et Pornography (1982). Je continue ensuite avec Disintegration (1989) puis Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me (1987) et The head on the door (1985). Je n’avais pas assez écouté l’album Wish (1992), sorti après Disintegration, et je ne me rends compte que maintenant qu’il est très bon, notamment le long morceau From the edge of the deep green sea et le tournant beaucoup plus pop et lumineux sur certains morceaux comme Friday I’m in Love. La musique que j’écoute influence toujours mes images et photographies. La fresque ci-dessus que je construis en écoutant cette musique oscille donc entre paysage sombre et instants de lumière.

2 commentaires

  1. oui il y a des compositions très intéressantes dans ce travail, je n’aime pas tout mais certaines font mouche et me plaisent beaucoup, cette fois tu es passé à la mise en scène ! en fait à force que tu nous pale de musique, je finis par entendre des musiques électro dans tes montages photos !

  2. Merci Daniel, en fait le découpage de la longue fresque en images consécutives de 1000px de long ne donne pas forcément la meilleure association d’images. Ca fonctionne mieux dans la totalité, mais autant c’est possible de montrer une longue fresque à la verticale sur le blog, autant à l’horizontal, c’est plus compliqué. J’aimais beaucoup le format vertical il y quelques années, mais plus beaucoup maintenant. Intéressant que tu entendes de la musique en regardant ces photos ! Je ne les construis jamais sans musiques.

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